Le titre le dit très bien. Aujourd’hui nada brigita. Enfin, juste un tout petit jog, tout seul cette fois, dans Central Park. Le dernier, snif, snif. Pas de photos, pas de commentaires particuliers. Ah si, hier je me suis rendu compte que le tournoi de 6 nations avait débuté. Arggghhhhh, je rate de beau moments d’excitation rugbystique !!
Ah oui, j’ai aussi débloqué un iphone. Faut bosser !!
Journée Brooklyn donc.
Au programme brunch chez mes amis Lisbeth & Kevin.
A l’arrivée. Un super brunch, une journée géniale à découvrir le quartier, les petits commerces, Sahaadis pour les epices et les condiments, dimarco pour le café, ??? pour le vin puis un super diner. Je crois que je me suis d’ailleurs un peu enflammé lors de la discussion sur le voile en France. Il y a, ici, un respect profond (nouveau ou pas, je ne saurais dire) des minorités et du droit à la différence. Lorsque j’ai dit que je ne pensais pas qu’il fallait faire une lois pour quelques centaines d’abruties qui voulait être totalement voilées ou pour les extrémistes juifs avec leurs couettes et leurs chapeaux ridicules ou pour tous les autres qui veulent marquer leurs différences, il y a eu un certain émois.
Long retour agrémenté d’un magnifique détour dans les rue de brooklyn.
Au fait le métro ici, c’est looooooooooooooooong … à mourir, c’est hyper mal indiqué, on se paume donc sans arrêt mais c’est pas grave car c’est ouvert toute la nuit !! N’empêche 1h30 pour rentrer, c’est long ! Même quand on a le temps. Au moins, on peut admirer la faune noctambule 😉 dodoooo
PS: première journée san toucher (pratiquement) a l’ordi. Finally.
Au programme du jour: payer l’assurance americaine de la moto. Dans ce pays, payer, ça devrait être simple non? Ben non. Les cartes de crédit étrangère ne sont pas acceptés, justement parce qu’elles sont des cartes de crédit et non de débit. Pour nous en France, c’est la même chose mais pas ici (c’est pareil en Islande). Donc, comme je ne peux payer par cheque (puisque je ne peux pas ouvrir de compte bancaire), je dois payer par mandat postal. Si si, ça existe encore !
Bon, je passe sur les différentes queues effectues (dans une banque, à la poste) arriver a comprendre tout ça. Il y aussi les problèmes de retrait de cash. Enfin après 1h30 d’aller retour divers, j’ai les 350 $ et je peux avoir mon mandat.
Maitenant il faut que je trouve un moyen d’arriver a Charleston dimanche. Les 2 trains quotidien sont plein (en tout cas sur le web), l’avion c’est hors budget, donc il reste le bus. Direction Pen Station pour dépatouiller tout ça. Ok métro. Stop 34ème rue et puis, et puis c’est où ? Putain, j’ai tourné pendant 1/2 h pour trouver cette satanée gare. Résultat, le train, on oublie. On verra le bus. Annuler la resa d’hôtel. Rentrer reposer mes pauvres pieds de motard. Écrire les emails pour les plombiers (je me comprend). Aller diner chez Constance et Corson. Ne pas déprimer. J’arriverais a Charleston mardi soir (après 20 h de bus !!!). Attendre encore, toujours. Au fait, le bateau transportant ma BMW était a New York hier. Argghhhh ultime souffrance, si proche et innacessible. Un moment, j’ai regretter de ne pas l’avoir fait envoyer ici et puis je me suis souvenue du montant de l’assurance. Non, pas de regret. Pas de blues non plus. 3 jours a tenir encore !
Journée contrastée
– réveil au aurores et jogging a 7h dans un central park blanc de neige.
– 2 h a bosser.
– re central park mais en mode balade flannerie.
– métro pour aller dans le queens et balade dans les rues au pif (en restant sur le trotoir ensoleillé !)
– retour a Manhattan et petit tour au Moma, direction les salles de photos et d’archi et design.
– gros coup de fatigue et retour a l’appart.
– rebosser.
– decouvre que tous le train que je comptais prendre dimanche est complet. Fuck. L’avion trop cher. Le bus ? Why not ? A l’ancienne, 20 h de bus. I can do it. Au fait, lundi prochain, le 15, c’est President day, donc férié,
donc pas de moto au port, fuck.
Tempête de neige !! Youpie !!
Des flocons gros comme des patates. En quelques heures, les voitures sont totalement recouvertes. J’ai regardé tout cela de la fenêtre de la chambre car je n’ai pas décroché de l’ordi. Réveil 7h et boulot direct jusqu’à 14h. Correction sur le site de Fjallabak, bug sur le RAID du Studio Massaud.
Finalement, je décide que ça suffit et que j’ai faim. Direction Eat, le resto d’Eli. Alors que je finis tranquillement mon sandwich, Eli débarque (eh, what you doing here ?) et m’embarque pour un petit tour du propriétaire, direction son magasin principal et là… whaouhhh. C’est à la fois, un supermarché bio, une cave à vin, un resto, une boulangerie… une véritable caverne d’Ali Baba de la bouffe quoi. Pour les curieux, voici le lien : Eli Zabar
Ensuite petite balade dans Central Park en plein blizzard (enfin presque). Les gens font déjà du ski, les gamins de la luge (écoles fermés aujourd’hui). J’en profite pour prendre quelques photos avant de rentrer. Ce soir, je vais diner chez Zahava, une américaine d’origine yéménite, rencontré en Islande il y a 6 ans. On avait bien rigolé ensemble lors d’une soirée mémorable dans le refuge de Strutur et je suis retombé par hasard sur ces coordonnées en vidant le bureau il y a 2 mois.
Au programme aujourd’hui, flannerie dans New York, plus précisément dans le lower east side.
Mais d’abord jogging avec Eli.
3 h à arpenter les rues un peu au pif, un peu en suivant les indications fournies dans un article du Nouvel Obs que j’avais mis de coté il y a plusieurs mois. Incroyable la différence qu’il y a avec Manhattan. C’est vraiment une autre ville !
Bref, j’ai marché, marché et marché. Traversé chinatown, little italy et je suis rentré fourbue.
English
French