Concert de Prince hier soir au stade France. Je ne pouvais pas manquer ça ! Je suis rentré chez moi a 2h, le temps de finir la compta, préparer le sac et hop au lit.
Réveil 6h45 après 4 h de sommeil.
Départ de Paris a 8h30. 1/2 d’h de retard sur l’horaire prévu, c’est correct. J’ai réussi a charger la moto ! Un mulet ! Les 2 pneus accrochés sur le top case la rende bizarre a piloter sur les premier hectomètres. Elle n’a qu’une envie sur les premier rapports: cabrer ! Mon sac de voyage, lui est logé DANS le top, c’est un première (évidemment il ne faut pas avoir de costard dedans). Anyway, 1/4 h plus tard, je passe prendre ma passagère et c’est partis pour un coup de periph. Un motard me signale que les pneus cachent le feux stop, pas bon ça, faudra trouver autre chose mais bon, on a, d’apres le gps, 1004 km pour arriver à Schlesswig ou Thérèse nous a déjà réserver 2 piaules, donc faut tracer. Au programme de la journée, ne pas s’endormir en conduisant. L’itinéraire sera: Paris, Aras, Lille, Gant, Eindoven, Brême, Hambourg et Schlesswig. Comme toujours les premiers km défilent lentement, et a 9h00, je fais le plein de choupette 10 bornes après Roissy. Embouteillage en Belgique, en Hollande et nous pénétrons en Allemagne vers 14h30. Au Rythme d’une pause de 35,40 minutes toutes les 90 ou 120 minutes, on devrait arriver vers 19h.
Pluie, vent, travaux juste avant Hambourg.
Arrivée a 20h45, ouf !
Manger, binouze, douche, blog, dodo. La vie, la vraie.
Pourquoi repartir en Islande en moto après avoir défloré le concept il y a 2 ans ? Et bien en premier lieu parce que arriver en bateau est juste mythique (comme on dit aujourd’hui) et que cela vaut franchement les 1400 bornes d’autoroute casse cul (dans tous les sens de l’expression). Secundo parce que cette fois, je vais m’arrêter 2 jours au Iles Feroes. Petit archipel battus par les vents et la pluie situé entre le Danemark (dont il dépend) et l’Islande. Les feringiens sont des cousins des islandais et a force d’en entendre des merveilles, je me suis dit: il est temps. Tertio, parce que j’ai encore envie d’aller « m’amuser » sur les pistes islandaises. J’ai manqué plein de trucs la dernière fois alors c’est l’occasion (et puis comme cela je vais continuer mon apprentissage de la conduite sur sable). C’est pour cela que j’emporte des pneus enduro que je ferais monter la-bas par un pote. Il y a 2 ans, j’avais fait la route de Paris avec et résultat des courses, ils étaient (enfin surtout l’arrière) a moitié mort quand j’ai pris la première piste. Enfin bref, l’idée, cette fois ci est de prendre le temps (hormis cette première partie pour rejoindre le port, mais c’est la faute à Prince) et c’est pour cela que j’ai pensé le proposer a quelqu’un. Thérèse, graphiste de profession devrait partir faire du cheval mais a du annulée because charrette de dernière minute donc elle a choisi un autre type de bourrin (et je ne parle pas de moi, qu’on ne se méprenne pas, j’interviens juste en temps que cocher). Et voili, comment une visite impromptu chez un client se transforme en belle balade. Bon, ce n’est que le début et on ne s’est pas encore fait VRAIMENT rincé mais l’idée est valable, non ?
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